Cette nouvelle vague de start-up, plus rapides, plus efficaces et moins chères que les grandes banques, vont déferler dans les activités traditionnelles de crédit  , de paiements et la gestion de fortune. Le phénomène est même déjà bien avancé. Il y aura globalement des grands gagnants (les entreprises de fintech), une masse de petits gagnant(les épargnants) et quelques gros perdants (les banques)

Grandes banques : jusqu’à 50% de filiales et d’employés en moins

Cette pression va monter dans les banques traditionnelles avec des objetifs commerciaux de plus en plus haut et des nouvelles technologies qui vont grignoter les marges de ses dernières.

L’ex SEO pense qu’il va y avoir un déclin de 20 à 50% des employés et des filiales.

Banques : les 2 raisons au bain de sang annoncé

Depuis la crise financière de 2008,  une crise du public envers les grandes banques qui ont érodés leurs capital confiance, provoqué une hausse drastique de la régulation et mis sur le marché un grand nombre de personnes intelligentes, connaisseuses du secteur bancaire et il ne reste que les commerciaux dans les banques.

Le prix de la création d’une start-up a chuté ces dernières années. À une certaine époque, on estimait qu’il fallait 50 millions de dollars  pour se lancer. Maintenant quelques centaines de milliers d’euros suffisent.

Les banques ont commencer à bouger en rentrant massivement dans le capital de certaines sociétés de fintech, ce qui finalement ne fait que déplacer les employés d’un secteur à un autre.